A l’automne au moment de la récolte de l’olive, le bois de taille des oliviers brûlé génère une pollution grave en CO2 et autres composants contenus dans les feuilles et les rameaux de l’olivier.
Tous les villages du Grand Sud de la France ont leurs feus du bois de taille de l’olivier chez les particuliers mais également chez les professionnels non équipés en broyeurs à marteaux.
Ceci en toute impunité, sous le regard indulgent des élu.es (Communes, Intercommunalités, Département, Région), les Parcs Naturels (nombreux par ici), les chambres d’agriculture, les syndicats agricoles, la profession de l’oléiculture tant au niveau départemental, régional et national, également la police de l’environnement (faible effectif), etc. Tous complices.
A ceci se rajoute une perte de matières organiques indispensables à la vitalité du sol et à sa résilience aux aléas climatiques à savoir sécheresse, températures élevées et pluies intenses érosives.
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